
«Le secteur des infrastructures routières est encore un peu à la traîne, même si nous sommes également partie prenante. On voit que cette évolution demande un changement d’état d’esprit. Au début du processus, cela coûtera beaucoup de temps et d’argent.»
© ATF
Chaque semaine, La Chronique donne la parole à un(e) CEO du secteur belge de la construction à la lumière de cinq questions identiques. Cette semaine, c’est au tour de Mieke Frijters, de l’entreprise de travaux de voirie ATF, de[…]
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